Des contextes et défis fluctuants, tels que les variations de température, la forte densité ou l’apparition de nouveaux pathogènes, représentent des obstacles permanents dans l’élevage, accroissant l’impact négatif des bactéries sur la santé animale.
En plus de cela, la restriction de l’utilisation des antibiotiques complique encore davantage les stratégies de gestion des pathogènes.
Une solution pour maintenir les performances dans des conditions difficiles est la mise en œuvre du concept de résilience animale.
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Dans le domaine de la contamination microbiologique, les mycotoxines telles que les aflatoxines, le déoxynivalénol et le zéaralénone représentent une préoccupation particulière pour les porcs. Les mycotoxines présentent des risques pour la santé des animaux, compromettant leur croissance et leurs performances reproductives. Elles augmentent la susceptibilité aux maladies en raison d’une suppression du système immunitaire et peuvent même causer des lésions organiques. Même à de faibles niveaux (en dessous des limites réglementaires), les mycotoxines peuvent affecter la croissance animale. Le stress prolongé induit par les mycotoxines est un facteur aggravant pour les infections et la prévalence des agents pathogènes, entre autres.
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Principaux avantages :
Les porcs sont régulièrement exposés à des stimuli environnementaux. Les stimuli stressants, tels que le sevrage, les variations de température, la densité élevée, entraînent un stress et sont perçus comme une menace. Au niveau cellulaire, un environnement stressant déclenche la libération d'hormones de stress, augmente la production de radicaux libres et surcharge le système de défense antioxydant de l'organisme, entraînant un stress oxydatif. Les répercussions du stress englobent des changements dans la fonction biologique, entraînant une baisse des performances.
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Principaux avantages :
La fonction de barrière intestinale est cruciale pour se protéger de la pression exercée par les agents pathogènes et maintenir l’homéostasie. Cependant, des facteurs tels que les agents infectieux, les stress environnementaux et d’autres défis compromettent l’intégrité du tractus gastro-intestinal, rendant les animaux plus vulnérables aux flambées de maladies bactériennes. Cela peut entraîner une baisse des performances, de la croissance et de la reproduction, et dans les cas graves, la mortalité.
Comprendre la fonction de barrière intestinale est la première étape pour garantir la résilience animale. Préserver la stabilité du microbiote intestinal est essentiel pour maintenir l’équilibre intestinal et prévenir les infections. Cela peut être réalisé par une action antimicrobienne directe, une collaboration avec le système immunitaire, ou en contrant les stratégies développées par les pathogènes pour leur survie. Renforcer la barrière physique implique de préserver la perméabilité et les jonctions épithéliales serrées. Réguler l’inflammation est crucial pour influencer l’équilibre de la réponse immunitaire en tirant parti du rôle du système immunitaire : surveillance, détection, réaction défensive et élimination des agents étrangers.
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Principaux avantages :
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